La Maison d’enfance est un album de famille : un mur porte un souvenir, une fenêtre un regard, un escalier une cavalcade… Isadora décide de ne plus quitter ce lieu dont elle est le cœur vibrant comme la mémoire. De saison en saison, c’est entre ces murs que la vie est contenue, conservée, sous un globe préservant les rires du passé, les étés animés et les hivers solitaires.
Perrine Tripier explore la sensorialité d’un lieu de mémoire, sous la charpente d’une maison vivante par les empreintes de ceux et celles qui y ont vécu.
Du craquement d’un plancher au grésillement d’une porte, la maison de ce premier roman est musicale, rythmée par les saisons, de la jeunesse à l’âge des souvenirs et interprétée par les élèves du conservatoire.